Banquet du 6 avril 1462

Charles entendit une voix familière à côté de lui, c'était Renard, il fut surpris, mais non moins content de le voir séant

Citation :

Eh bien Charles, je crois que nous nous régalerons ce soir!
Comment allez-vous mon cher ami?

"Mais fort bien, tu le vois, je suis très content de te revoir, cela faisait un moment que l'on ne te voyait plus en ville. Te croiser à ce banquet illumine ma journée vraiment ! Cela fait plaisir de constater que les amis les plus vieux sont toujours là, c'est une excellente chose de se voir ici. Tout cela grâce à Fayom, il faudra vraiment le remercier lui et sa maisonnée, Niort est chez lui au complet ! Mais toi alors que deviens tu ?"

Et accompagnant ces derniers mots par le geste, il s'empara d'une carafe, et y versa le vin dans leur deux verres respectifs.

John s installe a la place qui lui est assigner et écoute Charles et Renard discuter. Chaque personne semble bien installer et servi. Il se tourne donc vers Fayom.

Dites capitaine, est-ce que le père Max nous fais la prière d avant repas ou on peut déjà se servir? Je voudrais pas être impoli.

Il sourit ne connaissant pas toutes les convenances.

Les convives commençaient à s'installer tout en discutant. Fayom était ravi de l'animation dans sa salle à manger. Alors qu'il regardait ses amis prendre place, le maire lui posa une question :

Dites capitaine, est-ce que le père Max nous fais la prière d avant repas ou on peut déjà se servir?

Fayom resta silencieux quelques secondes puis dit :

Et bien demandons lui !

S'adressant à l'évêque, il demanda :

Monseigneur Maximinus, désirez vous dire quelques mots avant que nous commencions ?

"etant renfermé de nature, fab se demanda ou il pourrait bien s'assoir tant a part quelque tete connu, compagons de route , il ne connaisait pas grand monde. Surtout a les voir converser, il lui semblait que leurs conversations soient si importantes. Balayant du regard la table, il appercu une chaise vide,prit par un ventre vide, il faut bien se le dire, il se dirigea vers la table et pris place au banquet.

"Fab se leva, et essaya tant bien que mal, de suivre la priere tant c'est vrai que sa memoire n'etait pas la son point fort."

l'évêque accepta de faire une prière avant le repas. Fayom récita le psaume avec les autres puis écouta le sermon. Il dit ensuite :

Merci Monseigneur pour cette parole !

S'adressant à l'assemblée :

Bien maintenant festoyons ! Servez vous dans les terrines et les potages, les viandes finissent de cuire.

John même s il n était pas baptiser suivit la prière offerte par le père Maximinus avec joie. Ensuite Fayom les invita a festoyer.

Merci monsieur l hôte cela semble être d un régal.

Il se prit une pelletée de chaque plat et commença a déguster le repas.

C est délicieux, allez les amis servez vous qu on boivent plus encore par la suite.

Enfin, Teran traversait l'hôtel et approchait lentement mais sûrement de la salle à manger dans laquelle se tenait tous les invités. Tous sauf un. En effet, alors qu'il s'apprêtait à pénétrer le bâtiment pour la première fois, une rafale de vent emporta son chapeau à plumes. S'en était suivi une série de péripéties qui se termina par une course poursuite contre un fermier qui l'avais pris pour un voleur lorsqu'il l'avait vu escalader sa maison pour y récupérer son bien coincé sur le toit. Au final, le jeune homme avait enfin pu récupéré son chapeau rouge, mais à quel prix ? Lui qui était parfaitement présentable quelques temps auparavant, était à présent couvert de poussière et de boue, de bleus et de blessures mineures.

C'est donc un Teran lassé de la mésaventure qui lui avait coûté sa ponctualité qui était la source des bruits de pas traînants et bruyants qui résonnait dans le couloir qui menait à la salle à manger. Chapeau en main et bras pendants, le jeune homme arborait un visage triste qu'il ne prenait pas la peine de dissimuler, et son regard ne demandait que le repos et la pitié. Les brouhahas incessants et incompréhensibles des conversations des invités qui s'intensifiaient au fur et à mesure de son avancée sonnaient en lui comme une invitation à la potence. Son corps et son esprit épuisé lui hurlait de tourner les talons et de rentrer chez lui, mais la crainte de la furie de sa douce galvanisait le jeune homme à se traîner jusqu'à sa destination.

Lorsque son avancée s'arrêta devant la porte, Teran se redressa du mieux qu'il put, se recoiffa d'un geste de la main et s'orna de son chapeau à plumes. Il prit une grande inspiration, hésita une ultime fois, puis poussa la porte qui s'ouvrit dans un grincement qui attira une grande partie des regards des invités qui ne l'avaient pas attendu pour commencer à manger.

Le jeune homme observa les invités de gauche à droite. Il suivit certains regards qui se posaient sur son corps peu présentable, et eut un moment de flottement dans lequel il se trouvait particulièrement ridicule et stupide. Puis il releva la tête, croisa à nouveau le regard des invités, et d'un air peu inspiré dit à toute l'assemblée :

"Bonsoir !"

"mais quel repas, ça faisait bel lurette, comme on dit chez le Fab, qu'il n'avat pas festoyer ainsi. Entre deux mastications et 3 gorgées de vin , il s'ecria;" a la votre chers habitants de Niort, que le vin et les victuailles vous gardent. "vu l'air du sir, ca ce peut bien qu'il soit un peu pompette."

La bénédiction avait été donné par l'évêque, les convives s'empiffraient de pâtés et potages, vidaient les bouteilles de vins et les tonneaux de bière. Fab fit un toast qui faisait pensé à Foulques qu'il avait comme l'autre fois trop bu, déjà.

Foulques se rendit en cuisine pour aller chercher les rôtis. Accompagné du cuisinier et de ses commis, Foulques revint avec des porcelets embrochés, des canards sur lit de choux, carottes et fèves, quelques gigots aussi.

Cibeline souriait saluant de la tête les personnes qui lui faisaient des compliments sur les mets se trouvant sur la table.

En voyant Foulques revenir en compagnie des commis les mains chargées de porcelets embrochés, de canards sur lit de choux, carottes et fèves, de quelques gigots, elle l'appela discrètement.


"Foulques, psss." lui faisant de petits signes, elle le vit venir vers elle.

"Foulques pouvez vous faire le nécessaire pour coucher Louise qui s'est endormie, la pauvre petite n'a même pas mangé. J'espère qu'elle n'est pas malade."


Tenant toujours Nath contre elle, Cibeline glissa son regard inquiet vers la table des enfants.

"Fab38 ayant l'oreille qui traine entendit dame Cibeline s'adresser a Foulques:Foulques pouvez vous faire le nécessaire pour coucher Louise qui s'est endormie, la pauvre petite n'a même pas mangé. J'espère qu'elle n'est pas malade." étant d'une ame serviable il s'adressa a dame Cibeline" Dame Cibeline, sans vouloir vous importuner, si sir Foulques a besoin d'aide , je peut l'aider em m'occupant du service pendant qu'il s'occupe de Louise. "car Fab38 se disait que s'occuper de 50 moutons ou 50 invités ça devait pas changer grand chose."

Alors qu'elle attendait la réponse de Foulques, Fab lui adressa la parole :

Code:

 Dame Cibeline, sans vouloir vous importuner, si sir Foulques a besoin d'aide , je peut l'aider en m'occupant du service pendant qu'il s'occupe de Louise. "

Se pivotant sur elle même pour regarder Fab, elle lui sourit et dit :

"Je ne voudrais point abuser Sieur Fab, vous êtes notre invité."

Lui souriant aimablement elle ajouta :

"Je pense qu'il y a assez de personnes pour faire le service ne vous inquiétez point"

Puis lui murmurant doucement :

"Mais si vous avez vraiment envie de le faire, faites le, ne vous gênez pas. Je comprend le besoin de bouger, mais mon état ne me le permet plus; il faut que je reste au calme."

Puis se replaçant face à la table, elle coula discrètement son regard vers son époux.

Elle aimait le voir ainsi, heureux, entouré de personne qu'il aimait ; Pour elle il rayonnait, et à comme à chaque fois que son regard se posait sur lui, son cœur se mit à battre. Les souvenirs affluaient. Depuis leur rencontre, beaucoup de chose s'était passé. Mais les sentiments qu'elle éprouvait pour lui était plus fort chaque jours.

"fab ayant entendu la réponse de dame Cibeline, il se dit que c'est vrai, un peu d'exercice ne lui ferait pas de mal. Essayant de marcher droit car le fait de tituber était apparament plus pratique, il se dirigea vers la cuisine. Voyant des plats posés sur la table, et ne voyant aucun serviteur a proximités, il se dit que ça devait etre la suite du repas. Il prit donc les victuailles et se dirigea vers la salle a manger. Tout se passait dans le meilleur des mondes quand soudain, pris d'inatention, il trébucha, essaya de ratraper le plat, jongla avec le roti et finalement ne pu empecher le pire qui puisse lui arriver, faire tomber le plat" bin bong bling................"le fracas fut indescriptible, regardant tout autour de lui tout en se dépechant de ramasser le roti gissant a terre, il esperait que personne ne sans serai aperçu. Car vu le monde cela lui vaudrait une sacrée humiliation."

Foulques avait déposé les volailles sur la table lorsque Cibeline lui fit signe de venir. Elle lui demanda :

"Foulques pouvez vous faire le nécessaire pour coucher Louise qui s'est endormie, la pauvre petite n'a même pas mangé. J'espère qu'elle n'est pas malade."

Foulques fut surpris de la demande car, il n'était pas une nourrice. Mais bon comme elle recevait du monde et vu son état, il accepta la mission, pris Louise et s'en alla la coucher dans son berceau.

Lorsqu'il revint, il trouva Fab38 à terre en train de ramasser un rôti. Foulques émit un "oooh" et vint aider le sieur :

Laissez moi m'en occuper Fab, retournez donc à table !

John observe les discussions et regarde les gens manger. Chacun s empiffre comme il le peut, a croire qu il était loin leur dernier repas.Il vit Fab se lever et tenter d aider mais il échappa le rôti par terre. L anglois se retient bien de rire et fait mine de ne rien avoir vu tout en se disant qu il allait sauter le rôti.

Dites, il y a quelques choses de prévue après le repas? C est que je commence a avoir le bide bien plein moi.

Fayom était en train de découper le porcelet et interpellait ses convives pour savoir s'ils en voulaient, les servant quand ils acquiesçaient,  lorsqu'il entendit de la vaisselle retentir sur le sol. Se tournant vers l'entrée, il y vit Fab à terre avec un rôti. Souriant, il lui cria :

Et bien Fab, on a trop bu ?

Foulques arriva alors et aida le malheureux. C'est alors que John demanda :

Dites, il y a quelques choses de prévue après le repas? C est que je commence a avoir le bide bien plein moi.

Fayom lui répondit :

Déjà ? Mais il y a encore les entremets après la viande. Vous avez de petits estomacs, vous les Anglois ! En tout cas, oui après nous danserons !